Appel provençal.
16/04/2012 23:47 par princessducrepuscule
Je veux du soleil dans mes yeux
Pour pouvoir pleurer sans tristesse.
Je veux un horizon d'un bleu
Teintant mes iris de carresses.
Je veux le mistral qui transperce
Les vêtements, la peau, le coeur,
Qui fait glisser loin les averses
Et fremir la lavande en fleur.
Je sollicite l'Imposante,
L'Impétueuse, l'Elegante ;
La reine imprimant son respect ;
Le saphir, l'Unique insolente :
La mère Mediterranée.
Je veux mon Sud, rêve éveillé.
La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe.
Nouvelle création sous forme d'écriture libre qui je le rapelle consite à laisser sa main écrite librement ses pensées sans en être totalement conscient. Je réécris ici comme le jet spontané a émané de mon subconscient d'où certaines fautes d'orthographe qui ont sûrement une signification en tant qu'acte manqué comme dirait Freud.
Il était une fois une belle page blanche devant une fenêtre salle qui faisait rever le jardin endormi. Dans l'alignement des mots, des verbes, des conséquences de vermisseaux qui ternirent la terre amère. Au secour sommeil imprevu dominé par les émotions diverses issues d'imagination erronée par les pavés. Les escargots des feuilles mortes crissent doucement de réciprocité machiavelique. La couleur des mots et de la mort et l'équivalence de la médiocrité renseignent la méritocration, pardon, la méritocratie de l'action. Le sommeil, un, deux, trois sommeil soleil qui veillent. Rayes-la, met la entre parenthèse venez voir et vernir le verseau. Un, deux, trois, je rentre chez moi delirium party de ma recrudescence de dettes à cheval qu'on aime. Salté, salepetrière à jugement marxiste venue d'ailleur ici maintenant on aime partir rester et paraitre sot aux yeux des veaux. Le vicomte pourfendu ainsi que qu'il vienne mourrir sous nos yeux et vomir de sang et larmes sans les armes du temps.qui viennent au revoir maman perdu sous les couettes sans les lapins en peluche issu du retournement de situation et d'idées associées d'ecriture libre sans pensées venu d'ailleur, issus, pris par hasard. sucrée menue prise d'assault monté premier pleurer douleur cataclysme brulure délire sagesse saleté horreur douleur chute vomi violence profit provence promis potence pédancemétrie déman démantiel.
La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe
J'ai froid jusqu'au fond des ongles ;
Dans chaques pigments paralysants ;
Autour du nez et dans les sens ;
Manifestation de mon Essence.
Langue inerte et yeux mis-clos ;
Paleur de peau, souffle sans perte ;
Joues de marbre, regard de glace ;
Nul ne prendra ma place.
Mort et apparente hypothermie ;
Cachent Vie et Ataraxie.
(Fait en cours de philo)
La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe.
Les Hommes ne sont pas méchants,
Ils creusent juste leurs tombes
Et nous amènent la fin du Monde
A pas de Géants.
Quel est l'avenir,
Avant de pourrir ?
Devenir amer ;
Et se battir un coeur de pierre.
En vain, les hommes naissent, vivent et se meurent ;
En regardant passif se succeder les heures,
Sans but, sans rien, en toute inutilité.
La Vie : L'essence même de l'absurdité.
===================================La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe============3
Les yeux équarquillés sur un vide incertain,
Je hurle en silence, ça résonne sans fin.
Qu'il fait sombre ici. Il y a comme une poigne,
Infiltrée en moi pour que je ne me soigne.
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Sur mon ventre elle appuie ; mes poumons qu'elle comprime,
Veulent inspirer la vie mais s'éttoufent et oppriment,
Les mots qui soulagent, les cris de détresse,
les discours qui saignent, le desespoir qui agresse.
.
La griffe sournoise rampe sur mon thorax,
Et, dure et froide, elle continue dans l'axe
Craquant les côtes pour se frayer un passage,
Vers celui qui frappe depuis mon plus jeune âge.
.
Elle plonge inexorablement vers le rubis,
Et m'extorque un hurlement sauvage et muet.
ça transperce difficilement ! ça saigne !
ça se débat ! S'écrase ! C'est l'Hémorragie !
ça oui c'est moi. Aah ! Psychadélique de rage !
Inspirer, . . . Expirer, . . . , dormons, la douleur hait.
La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe
Au beau milieu d'un jardin une enfant s'avance,
Sautillant sous le soleil en être innocent.
Elle s'illumine à l'odeur d'un miel instense,
S'émerveille des couleurs et du doux vent.
Elle court à droite à gauche, choisis son chemin,
Ne se fie plus aux fleurs de ce monde lointain.
Accelère encore à n'en plus voir la lumière !
Se perdant dans un tourbillon grisatre. Fière !
Dans sa transe macabre elle n'a plus d'attention,
Puis d'un corps ; se fige en une statue glaciale.
Qui s'assoie humblement, et plus que jamais pâle,
Ploie. Devant le terne mur d'incompréhension.
La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe
Quelques questions sans logique ni raison.
Qui sont les gens qui portent des masques ?
Que peut on pour eux ?
Est-il encore temps ?
Est ce que la mort c'est grave ?
Qu'est ce que tu vois ?
Est ce que ça guérit ?
Est ce qu'on peut guérir ?
Est ce que le bonheur a été inventé par l'humanité ?
Où on vas ?
Pourquoi ? Dis moi Pourquoi ?
La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe---
Au moindre souffle de vent je vacille,
Je suis moins épaisse qu'une brindille.
Pourtant ma carapace me défend
Contre tout évènement embétant !
Mais tout cela n'est qu'une façade
Et derrière mon visage maussade
Vivote, se cache et se délabre
Dans la brume, une ombre...un cadavre.
Qu'écrire, avec un feutre violet
Comme les lèvres de celui qui a froid.
Le temps passe à travers moi
Mais de dire ça, où est l'interet ?
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.La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe.
Tu es l'éternelle question
Source de toute ambition
Le que seras, où irais-je
Et peut etre que demain il neige...
Tu es à tous notre mission
L'origine de nos actions
En créateur de discussions.
Parfois plein de motivation
Ainsi que d'interrogations
Toi l'inconnu qui nous fais peur
Ou nous enjoue selon l'humeur.
Pour moi c'est source de chagrin,
Me rend malade comme un chien.
Je préfère ne penser à rien,
Mais l'avenir nous appartient...
...La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe...
Je tiens tout d'abord à dire que ces deux textes ( Monologue d'un ésprit torturé et les Elucubrations d'une possédée) sont issus d'écriture libre. Pour ceux qui ne connaissent pas le principe il sagit d'écrire en étant à demi conscient de ce que l'on fait, écrire ce que l'on voit et ressent sans réfléchir. Celui là est plus réussis que l'autre bien qu'il soit plus vieux.
Bonne lecture.
J'ai peur, j'ai mal, je ne sais pas quoi faire. Je me sens pas bien, j'ai peur des autres. Je les hais, je les adorent.
Je veux qu'on me serre dans ses bras, je ne veux pas qu'on me touche.Je veux donner et recevoir de l'amour, j'empoisonne les gens.Je vais droit dans le mur, je ne vois plus rien.
Je suis toute seule, il fait noir, personne ne comprend, je suis toute seule, je suis loin du monde, plus personne m'atteind. Tout m'est étranger, je vais droit dans le mur, j'ai besoin du noir, j'en ai peur.
Les gens m'oppressent, j'ai besoin d'être seule, je ne comprend pas, non, ils ne comprennent pas.J'ai besoin de noir, le bruit m'effraie, il me chasse, je fuis !
Il fais noir, c'est petit, les yeux équarquillés, j'ai peur, il y a moins de bruit mais il y en a trop. Je me bouche les oreilles, il ne fais pas assez noir. Face au mur, les yeux fermés, j'ai peur, je vais mourrir si le bruit ne cesse pas. Brouhahat éparpillé, je ne distingue rien, le bruit m'agresse, ils parlent plus fort, j'ai peur, ma tête cogne frénétiquement le mur, j'ai peur, je vais craquer !
Ca sonne. Bruit de toute éspérances et toutes craintes. Il faut plonger dans la réalité répugnante. Je ne veux pas sortir ! Il faut sortir ; j'ai peur, la lumière m'aveugle, tout le monde crie, j'ai peur. Mes yeux se baissent, cherchent un point d'immobilité. Je rentre, je ne veux pas !
Ne me regardez pas ! Il faut sourire, j'ai peur, ils vont s'inquiéter si je ne sourie pas, je voudrais qu'ils se taisent, je voudrais qu'ils disparaissent tous, je voudrais les tuer tous.
Ils ne s'occupent pas de moi, je me sent seule. Ils ne comprenent pas, ils avalent mes mensonges, je suis folle.
J'ai peur.
La PrInCeSs Du CrEpUsCuLe